Les Formations professionnelles de Relaxologue – Relaxologie Sophrologie Au-delà des simples méthodes et techniques en Relaxologie : qualités d’être du Relaxologue Sophrologue et savoir faire
Les Formations professionnelles
La Relaxation, la Sophrologie, l’hypnose et les pratiques de Bien-Être qui en sont dérivées sont à l’ordre du jour… Nous parlons même à présent de pratique de Mieux-être !
Et, pour devenir Relaxologue – Sophrologue professionnel à notre époque, seules des écoles privées dispensent en France les formations adaptées.
En souhaitant que ces quelques informations puissent répondre à vos diverses questions concernant ce vaste domaine…
Au-delà des simples méthodes et techniques en Relaxologie : qualités d’être du Relaxologue Sophrologue et savoir faire
Les qualités d’être du Relaxologue et du Sophrologue
(L’être et le savoir être)
Cepointest aussi l’un despoints les plus importantslors de la formation du Relaxologue et du Sophrologue.
En dehors des compétences techniques ou pratiques acquises lors de la formation (le savoir-faire méthodologique, la technicité), le meilleur « outil » du Relaxologue c’est lui même, de part sa qualité d’être, de présence, d’attention et d’écoute (un savoir-être nécessaire).
Le Relaxologue professionnel est une personne s’étant formée à ce métier et disposant d’un certain nombre de « caractéristiques personnelles » pour accomplir son travail.
Certaines de ces « caractéristiques » ou qualités humaines et capacités intellectuelles sont : l’écoute, l’empathie, la bienveillance, la présence, la tolérance, la flexibilité/adaptabilité, la créativité, la discrétion, le respect, la patience, l’humour, une vision positive de la vie (qui ne nie nullement la charge négative), du « bon sens », de l’intégrité et une honnêteté intellectuelle , une éthique, une exigence et de l’authenticité, la capacité de se mettre en « position basse » si besoin, une maturité personnelle et une connaissance de soi suffisante, … qualités qui ne se décident pas mais qu’il est toujours possible de développer et continuer à cultiver tout au long du chemin de vie…
Plusieurs compétences spécifiques, au-delà de la technicité, sont aussi nécessaires au professionnel : l’observation et la qualité d’écoute et de définition d’objectif, la capacité acquise d’accompagnement (méthodologie) et d’autonomisation du client, la pédagogie (transmettre), …
Chaque Relaxologue Sophrologue développe donc son « style personnel » et utilise sa propre « boite à outils » selon l’approche de base qu’il utilise.
L’un des fondements essentiel de ces accompagnements étant la qualité relationnelle et humaine.
L’apprentissage du Savoir Faire
(Faire et savoir faire)
Le travail sur l’utilisation et l’application des outils et méthodes de Relaxationsà différents cas pratiques : les domaines d’applications et les célèbres « études de cas ».
Apprendre à utiliser les outils et pratiques sur des thèmes et dans des contextes variés et diversifiés.
Connaître des outils de relaxation, sophrologie, travail corporel, visualisation, écoute, animation est la base de la formation du Relaxologue.
Il est ensuite nécessaire d’intégrer uneméthodologie de travail, de connaître leslimitesdu champ de travail du relaxologue, ainsi que de réfléchir et pratiquer sur desapplications concrètes.
Les stagiaires ont en général à travailler sur des études de cas, c’est à diredes mises en situations d’accompagnements ou d’animations « virtuelles », et de trouver quelles stratégies d’accompagnement et quels outils seront les plus adaptés.
Ceci de manièreà pouvoir être autonomesà la fin de la formation.
Ce travail estmené au sein du groupe, préparé avant le regroupement, et encadré par le formateur.
Cela permettant aussi d’apprendre à travailler avecdifférents publics dans différents contextes.
Un temps de mise en commun des éléments fournis par les différents participants sur chaque étude de cas sera très prolifique, formateur et structurant.
Les écoles, selon leurs spécificités, donnent parfois des « protocoles tout établis » pour tel ou tel type d’application. Protocoles que le stagiaire est censé connaître « par cœur » et ne peut même parfois y ajouter une sensibilité/créativité personnelle. Ceci peut sembler plus rassurants pour certains ou plus facile pour évaluer l’acquisition des acquis d’un stagiaire.
Toutefois, les cursus permettant l’intégration d’uneméthodologie de réflexion et de préparationspécifique pour chaque situation/demande/besoin/personne ou groupe, permettront une intégration plus fine et la mise en place d’une proposition plus adaptée et répondant de fait potentiellement mieux à ce qui est nécessaire de mettre en œuvre. Ce qui n’exclut absolument pas le fait de s’inspirer de méthodologies ou de protocoles de pratiques ayant fait leurs preuves… Le praticien, dans sa posture phénoménologique, sera ainsi plus apte à proposer de manière adapté une pratique et un suivi à son client.